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dimanche, 26 juillet 2020 17:13

World of Warcraft: Shadowlands

Voici la huitième extension du jeu vidéo «  World of Warcraft », le célèbre jeu de rôle en ligne massivement multijoueur .
World of Warcraft: Shadowlands

Publié dans Gaming News
jeudi, 09 juillet 2020 15:03

Les styles de jeu - Les RPG

Toute petite intro. Je fais cet article en ne prenant en compte uniquement mon expérience de jeu. C’est le style que je préfère et c’est la seule raison pour laquelle je fais cet article. On peut ne pas être d’accord, mais les RPG c’est la vie.

Déjà ça veut dire quoi RPG ? Et bien RPG c’est pour Role Playing Game. Alors il y en a sûrement qui ne le savent pas, tout simplement parce que le jeu vidéo, la manière de le consommer et sa diversité a tellement changé que l’on peut passer à côté de ce genre de définitions et même de ce genre. Pour moi, cela va sans dire et c’est tellement une base, mais pour d’autres peut-être moins.

Beaucoup peuvent avoir même joué à un tel jeu sans s’en rendre compte dû à leur âge (jeune) ou du au fait que c’était pas du tout par rapport au style que le jeu les à attirer et qu’ils ne se rendaient pas compte que c’était un RPG.

Prenons l’exemple de Pokemon, il se peut que les gens qui y jouent n’y voient même pas un RPG du au fait que pour eux les petits monstres passent avant tout et que ce « détail » passe totalement à côté.

Ensuite d’où vient le RPG ? Alors on parlera uniquement jeux vidéo et non pas jeux de plateau. Car il existe aussi des jeux de plateau, genre DnD (Dungeons and Dragons) qui sont des RPG. Et d’ailleurs c’est cette licence qui vient à être le premier jeu vidéo sur ordinateur qui soit un RPG. En 1974 celui-ci sort. Sur console il s’agit de Dragon Quest sorti en 1986 sur Famicom (NES). Grace à la Nintendo Switch l’Europe peut y jouer depuis 2019, bien sûr il y en a un tas d’autres qui sont sorti après qui eux sont sorti en Europe, le dernier en date Dragon Quest 11 : Les combattants de la destinée est sortie en 2017 et sa version dite « Ultime » est sortie en 2019 sur Switch.

Ce genre est donc aussi vieux que les consoles elles-mêmes. Un an plus tard sort déjà le numéro deux et arrive le nouveau du genre, Final Fantasy par Square Soft à l’époque, puis devenu Square Enix après avoir été acheté par Enix. D’autres noms très connus du genre qui font encore parler d’eux comme Romancing SaGa ou Phantasy Star, ont eu des jeux déjà durant les années 80 ou début 90. Ces jeux sont donc très anciens et ont grandement évolués avec le temps. Les RPG ont toujours fait parti de la vie des consoles. A mon plus grand plaisir et celui de millions de gens.

Alors beaucoup diront que l’on joue à un RPG pour son histoire et non pas pour la manière de jouer qui peut être presque obsolète. Je ne suis pas du tout d’accord. Pour ma part la manière de jouer et les conditions dont on peut avoir besoin pour jouer à ce genre de jeux et justement une des principales raisons qui fait que j’y joue. Naturellement sans une bonne histoire aucun intérêt. Il faut dire aussi que si ce que propose le jeu en termes de jouabilité n’est pas assez diversifié alors on peut s’en lasser.

Cela me rappelle les deux premiers Final Fantasy. J’adore cette Saga. Les Final Fantasy sont parmi les jeux dont je ne peux pas me passer. Et bien les petites et plus évidentes différences font que l’on veut avoir les deux jeux. Pour le premier c’est du basique il faut l’avouer. L’histoire est plutôt cool mais assez simple. Un mec pourri fait un sale coup à la planète, une prophétie, quatre cristaux contrôlant les éléments et quatre combattants qui doivent sauver le monde. Basique mais féerique et prenant.

Pour ce qui est des combats, c’est du tour par tour, magie, attaque avec des armes, équipements et le tour est joué. On choisit dès le début du jeu les classes qu’on veut avoir.

Pour ce qui est du deuxième. Et bien déjà les personnages ont une réelle histoire qu’on comprend un minimum rien qu’avec la cinématique. Il y a un groupe de résistants, une dictature à l’échelle mondiale. Une histoire plus étoffée. Surtout il n’y a pas de niveaux ni de points d’expérience. Selon comment le combat se déroule les personnages vont évoluer d’une certaine manière. Selon les choix que l’on fait également. Lors de dialogue on peut réellement interagir car certains mots clés peuvent (doivent) être sauvegardés. Ceux-ci peuvent ensuite être utilisés lors de conversations afin de pouvoir avancer dans le jeu. Donc des nuances plus ou moins évidentes qui font clairement de ces deux RPG des jeux très différents.

Cela a son importance car imaginons que le deux n’aient pas ces différences. Il est tout à fait possible que certains ne trouvent pas l’histoire et le contexte du deuxième opus aussi beau, aussi lisible et aussi féerique que le premier. Du coup on passe à la trappe car ce n’est pas assez, mais en incluant ces différences dans la manière de jouer, on sera attiré quand même et le jeu plaira.

Le RPG c’est pour moi une affaire d’alchimie entre le joueur et le jeu. Une histoire d’amour qui nait d’un coup de foudre. Si on a eu celui-ci, jamais plus on ne pourra se passer de ce genre de jeux, sinon on ne jouera qu’à certains des ces jeux, de manière totalement ponctuelle à cause d’une histoire qui plait énormément ou à cause d’une manière de jouer totalement innovante que l’on veut tester.

Pour finir les jeux vidéo sont fait pour divertir et il ne faut jamais oublier que ce ne sont que des jeux. Chaque genre apporte quelque chose de spécial et a ses points forts comme faibles. Apprécions les pour ce qu’ils sont : Un moyen de voyager dans un autre monde le temps d’un instant.

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vendredi, 25 décembre 2020 22:05

Joyeux Anniversaire Final Fantasy I

Joyeux Anniversaire Final Fantasy I

Ah quelle joie. Parler, écrire, lire, regarder ou jouer à tout ce qui touche cette franchise me plait énormément. Je dois dire aussi que c’est mon deuxième essai pour écrire cette article. La première fois j’ai fini par écrire 4 pages avant de toucher au thème Final Fantasy premier du nom. Pour être à cent pour cent honnête, je n’ai pas du tout, mais à aucun moment, dit FF I à part pour dire que j’y ai joué…

Donc oui, cet essai doit être le bon sinon je vais commencer à douter de ma faculté à me concentrer sur un sujet. Donc nous allons parler de ce jeu, que je pense être excellent. Il est évident que nous devons prendre beaucoup de facteurs en compte. Premièrement l’époque durant laquelle le jeu est sorti. Le genre de ce jeu, RPG évidemment. La société qui a créé le jeu. Les circonstances dans lesquelles était cette société et finalement ce qui a poussé à créer cet opus.

Bref on ne va pas refaire l’histoire sinon je vais finir par faire toute l’histoire de l’entreprise sans avoir à nouveau parlé de ce jeu. Je m’emporte si facilement c’est fou.

Donc ce jeu, de quoi cela va parler à vrai dire ? A quoi pouvons-nous nous attendre ? Tout simplement à une histoire magnifique mais ou on rentre vite dans le vif du sujet. On nous explique une seule chose, notre destinée. Nos personnages (4) n’ont aucune histoire passée, du moins on ne la connait pas. On doit tout leur inventer, leurs noms et leur classes. On peut choisir entre guerrier, moine, voleur, mage noir, blanc ou rouge. Pour ceux qui ne connaissent pas trop, le guerrier se bat à l’épée et au bouclier, le moine est à main nue, le plus fort physiquement et avec des PV crevant le plafond. Le voleur, et bien il est rapide et ses équipements sont pas trop cher. Le mage blanc soigne, protège et fait en sorte que vous surviviez. Le mage noir, brûle, glace et électrifie vos adversaires, il peut même leur donnes des altérations d’état. Le mage rouge est un mélange entre le blanc et le noir. Il est également fort physiquement et aura donc la plus grande polyvalence de toutes les classes.

Ce qui est cool, les classes évoluent durant le jeu. Après un certain point durant l’histoire vos personnages obtiennent la classe évoluée de celle que vous avez choisi. Ainsi le guerrier devient paladin, le moine devient maître, le voleur devient ninja et les différents mages deviennent des sages. Ceci permet à chaque classe d’aller encore plus loin dans leurs caractéristiques de base. Vous aurez donc des personnages encore plus fort dans ce qu’ils savent faire et qui feront de vous le joueur avec l’équipe la plus puissante de votre monde.

Parlons maintenant de l’histoire. Elle est simple mais si bien raconté, avec de superbes personnages et des quêtes stupéfiantes. Le monde se meurt, des tempêtes dévastatrices, des cataclysmes marins, que du malheur. Rien ne va mais les gens sont persuadés qu’une prophétie s’accomplira. Celle de Lukahn : « Devant les ténèbres, quatre guerriers de lumière se dresseront. »

Vous incarnez donc ces quatre guerriers. Le monde tourne grâce aux quatre cristaux. Les quatre cristaux qui détiennent le pouvoir des éléments, la terre, le feu, le vent et l’eau. Vous devrez donc braver tous les dangers afin de pouvoir libérer les cristaux de leur corruption. Ainsi le monde pourra à nouveau aller mieux et vous pourrez dire que la prophétie n’était pas une simple légende.

Cependant cela va un peu plus loin que tout ça. Le premier donjon que vous faites sera aussi le dernier. Durant votre quête vous vous rendrez compte que vous devrez retourner à l’endroit ou vous avez accompli votre première quête. C’est la que j’ai eu ma grande surprise. Pour parler de mon expérience, je n’ai pas fait attention à l’alerte. Si vous rentrez, vous ne pouvez plus en sortir et vous devez donc être sacrément préparé. Surtout avoir un équipement en béton, un max d’objet pour vous soigner et un mage blanc ! Car les mages rouges ne pouvant pas soigner aussi bien que les mages blanc (ou plutôt les sages) vous ne pourrez pas être aussi efficace en résurrection. Ayant eu deux mages rouges et aucun blanc, il en était vite fini de moi. Sans une bonne diversité de classes ni assez d’objets j’ai compris que je n’y arriverai pas. MAIS, les sauvegardes sont la pour ça. Ayant fait une double sauvegarde en rentrant dans le donjon, j’ai pris cette dernière et je suis allé m’entrainer un peu pour obtenir des sous, vendre des objets dont je n’avais l’utilité et je me suis fourni comme un fou en un tas d’objets qui pouvaient m’aider pour réussir.

Finalement tout va bien donc. Ce fût un peu plus dur que si j’avais eu un mage blanc je pense, mais que faire, j’adore être au front et attaquer sans trop réfléchir comme un bon bourrin. Donc j’étais en mode paladin, maître, sage rouge et sage rouge. Je passais mon temps à exterminer les monstres aussi vite que possible sans trop utiliser de magie. En effet, les sages rouges peuvent avoir de superbes équipements aussi pour l’attaque, le paladin forcément aussi et le maître dégomme tout de ses poings. La plupart de mes PM sont utilisés pour le soin et la protection. Quand cela s’avère utile ou nécessaire alors on se faisait plaisir avec de la magie noire.

J’ai pu alors me débarrasser de la vermine faisant de ce monde un endroit peu prospère et triste. La encore on peut être impressionné par le scénario car au final, personne ne saura jamais tout ce que nous avons fait. Tout ceci ne fût qu’un paradoxe. En mettant un terme à celui-ci, nous ne rendons pas possible notre destinée. Donc en faisant ce que nous faisons, nous perdons la mémoire de nos exploits dans notre présent. Le méchant, Garland devenu Chaos, est en fait pris de notre présent par les démons du chaos, pour aller dans le passé et rendre possible leur propre existence. En faisant cela, ils permettent la prophétie de s’accomplir en créant les guerriers de lumière que nous incarnons. En allant le détruire, nous ne permettons pas aux démons d’exister ni à Garland d’être Chaos. Donc nous ne pouvons pas nous rappeler de quelque chose que nous n’avons jamais fait.

Alors oui, nous sauvons le monde, la monnaie d’échange étant simplement notre mémoire et de celle de toutes les personnes vivantes. Jamais personne ne saura qu’un danger sans précédent existait et qu’il s’agissait même d’une boucle temporelle chaotique jusqu’à ce que nous intervenions. Ça met le cerveau à l’envers et c’est juste génial en terme d’imagination, d’ingéniosité.

Ce jeu, rien que par son histoire, montre tout le potentiel de ce studio et de son directeur. Une petite bande de génies qui feront notre bonheur tant de temps durant. Aujourd’hui nous avons droit à de nombreux jeux dont personne ne devrait se passer si étant qu’il aime les RPG. On ne peut passer à côté de cette franchise ni de cette société Square Enix qui a su créé tant de bons jeux.

Merci Final Fantasy

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lundi, 05 avril 2021 22:48

Dark Chronicle

Dark Chronicle

 

Le Retro coup de cœur

 

 

Je vais parler d’un jeu que j’ai adoré et qui m’a pris par les trippes du début à la fin. C’est un des jeux qui m’a le plus marqué. Son histoire, son mode de jeu, les différentes tâches à remplir, les personnages et le graphisme ont tous joué un rôle important pour moi. Dans ce jeu, tout et je dis bien tout, m’a plu. Je n’en garde aucun défaut, aucun énervement ou frustration qui pouvait me décourager à jouer.

Ce jeu a tellement été marquant pour moi, quand j’ai dit que je prenais le thème « Retro » pour le podcast, qu’il a été le premier auquel j’ai pensé. Je n’avais pas dit que je ferai une présentation de ce jeu, mais dans ma tête je n’avais que ce jeu en tête. Alors même que je me forçais à penser à d’autres jeux, il restait.

Grand fan de RPG et de Nintendo, la liste de jeux qui remplissent ces critères est énorme. Pourtant, il s’agit bien de ce jeu que je voyais comme une évidence. J’en suis très heureux et je suis sur que je lui ferai honneur. Dark Chronicle, pour celles ou ceux qui n’ont pas connaissance de ce jeu, alors faites tout pour pouvoir y jouer. Pour les gamers qui ne connaitraient pas ce nom, peut-être que le nom de Dark Cloud 2 leur fera comprendre de quoi je parle.

En effet, Dark Cloud 2 est le même jeu, mais il s’agit du nom américain. Dark Cloud n’étant jamais sorti en Europe, avoir un jeu qui s’appelle Dark Cloud 2 n’aurait pas eu de sens. Alors le jeu a été renommé Dark Chronicle pour les régions n’ayant pas eu de Dark Cloud premier du nom.

Il s’agit la d’un détail, mais je veux montrer que oui, je sais de quoi je parle. J’aime ce jeu d’accord ? J’espère que c’est compris maintenant.

L’histoire

On commence par le début de l’histoire. On est un jeune adolescent, du nom de Max, travaille dans un atelier avec son professeur Cédric. Il a un appareil photo qui lui est très utile, mais on y reviendra plus tard. Il habite dans une grande maison d’un petit village emmuré et personne ne sort du village. Il a une amulette que sa mère (disparue) lui avait offert avant de mourir.

Un soir de cirque, Max profite pour aller au spectacle. Un enfant lui vole son billet et après avoir tout fait pour le retrouver, il a une discussion étrange avec l’enfant qui disparait ensuite. Le patron du cirque s’avère être un vilain de l’histoire et essaye de vous attraper / tuer. Il veut votre amulette pour son boss. En espionnant le maire et le patron du cirque vous apprenez que votre amulette pourrait être importante et qu’il y a un train en ville qui permettrait de voir le monde.

Max arrive à s’enfuir et passe par les égouts. La commence réellement le schéma que le jeu adopte au niveau du game play. Comment on se bat, comment on évolue et comment on va avancer dans les différents niveaux. On y reviendra plus tard, pour le moment place à l’histoire. Dans les égouts Cédric vient avec le robot vous aider. Après un bref stop en ville à nouveau, vous améliorer le robot grâce à votre appareil photo (j’expliquerai plus tard). Vous retournez dans les égouts et utiliser le robot pour avancer.

En sortant des égouts, vous prenez le train. Celui-ci était resté secret, personne du village ne devait savoir qu’il était encore en état de marche. Vous en profitez pour voyager dans le monde. Lors de votre premier voyage, le chef du cirque revient vous embêter. Une fois que vous pensez vous en être débarrasser Monica arrive pour vous sauver.

A l’aide de son épée elle l’élimine, elle a une pierre similaire à celle de Max. Celle de Max est rouge, la sienne bleue. Monica vient du futur et est venu dans le présent de Max afin de changer le court de l’histoire. L'antagoniste du jeu a tout fait pour détruire le monde dans le passé de Monica pour pouvoir être invincible à leur époque.

Le jeu tournera beaucoup autour de cela. Le fait de voyager dans le futur (le présent de Monica) et le présent (présent de Max). Max étant un inventeur, il est non seulement capable de créer de belles choses pour son robot, de faire évoluer ses armes mais il est aussi capable de créer un monde. A l’aide des informations que vous avez dans le présent de Max, en ayant les matériaux nécessaire, vous pouvez recréer le monde tel qu’il le faut pour que dans le présent de Monica tout soit à nouveau reconstruit.

Cela vous permet de pouvoir voir le monde tel qui devrait l’être et de pouvoir battre le méchant de l’histoire. Le jeu est ensuite assez simplement fait, avec le train vous arrivez à un endroit, vous bottez les fesses des monstres, vous prenez tout ce que vous pouvez prendre, vous recréer le monde et vous allez au prochain endroit.

En recréant un endroit, vous allez dans le futur ou vous apprendrez de nouvelles choses sur l’antagoniste et le moyen de pouvoir le détruire. Vous voyez alors à quoi le monde devait ressembler sans son intervention et vous pouvez faire des aller-retour même si la reconstruction dans l’ère de Max n’est pas fini. Vous pouvez donc aller voir l’évolution selon les modifications que vous aurez faites. C’est bien pratique car des fois on peut voir ce qu’on peut faire de mieux pour être sur que le présent de Monica soit rétabli correctement.

L’histoire est poétique et surtout très bien racontée. C’est assez simplement écrit et mis en place, son charme réside dans la façon que l’histoire est racontée et comment elle est animée par les personnages. On est vite pris au trippes et on se sent faire partie de la fine équipe qui doit sauver le monde. A travers le voyage vous apprenez donc vraiment de quoi il s’agit. Un être maléfique du passé de Max détruit tout ce qui est important pour que dans son futur il puisse être plus puissant et qu’il puisse gagner à coup sûr. Ce futur est le présent de Monica. Max se trouve donc entre les deux. Il est dans le futur (plus ou moins proche) du méchant, voilà pourquoi son monde est si vide, mais il est dans le passé de Monica ou tout est chaos à cause des méfaits de cet être maléfique. Etant donné que Monica a l’amulette bleue qui permet d’aller dans le passé, elle retrouve Max qui lui a celle pour aller dans le futur. Ainsi ils peuvent voyager ensemble et contrer le monstre qui veut tout détruire.

Ce que le méchant détruit dans le passé, Max le recréer dans son présent, pour pouvoir contrer l’antagoniste dans le présent de Monica. Vous voyez ? C’est simple et pourtant on s’y perdrait facilement.

 

Le mode de combat

Il s’agit de combats libre, pas de tour par tour ou quoi que ce soit. On est dans le vrai, dans le dur. Vous avez donc deux armes. Max a une clé anglaise et un pistolet. Si vous tuer avec l’une ou l’autre arme, les points d’expérience vont à l’arme qui aura été fatale. Vous pouvez alors choisir d’être plus corps à corps ou plus à tirer de loin. Il en va de même avec Monica qui avec ses armes donne ces deux options. Les combats sont assez dynamiques et il faut dire que c’est instinctif et simple à savoir manier ce mode sans trop de souci.

L’évolution

Max n’évolue pas. Ce sont les armes qui évoluent. Le schéma d’évolution est assez simple, vous avez au départ de choix d’évolution, selon le choix effectué, une partie de l’arbre d’évolution n’est plus accessible et l’arbre continue alors dans une autre direction. Si après l’évolution ne vous plaît pas, faut une nouvelle arme pour la faire évoluer de la manière qu’on veut.

Vous obtenez des orbes lors de combats, dépendant de l’orbe cela vous donne aussi accès à toutes les possibilités dans l’arbre d’évolution de vos armes. Il est donc important d’avoir des orbes en stock. On peut sinon se retrouver bloqué car on a pas les orbes nécessaires.

Pour Monica c’est pareil, mais elle a des armes plus conventionnelles ou classiques. Elle a une épée et un bracelet qui lui permet de lancer des sorts magiques. L’évolution est la même.

Etant donné que les personnages n’évoluent pas, ils n’ont pas d’améliorations de stats, mais les points de vie doivent quand même évoluer. Et c’est aussi la que les voyages dans le présent de Monica s’avèrent importants. En allant dans son présent vous pouvez des boites en bois, bien cachées, elles ont des pommes. Celles-ci peuvent augmenter vos PV. La aussi il faut faire attention à ce que vous soyez assez cohérents car si Max a des PV qui crèvent le plafond, Monica survivra pas longtemps. Je vous garantie que lors de combats contre des boss vous allez le regretter si vous n’êtes pas équilibrés.

Les personnages secondaires

Selon les personnages choisis, vous aurez certains bonus. Il y a Cédric justement que vous pouvez avoir dans votre équipe de manière passive pour vous aider. Il y a bien d’autres personnages qu’on pourra obtenir durant l’histoire. Il faudra accomplir de petites tâches afin de pouvoir les recruter. Chacun pouvant vous aider d’une manière ou d’une autre. Cela permet une adaptation à la situation dans laquelle on se trouve et cela permet de pouvoir jouer d’une manière ou d’une autre.

Le graphisme

Pour l’époque (2003) on peut dire qu’il s’agit d’une réussite énorme. Il s’agit d’un graphisme en cell shading, donc un style dessin animé. C’est très réussi et haut en couleur. Cela colle superbement avec l’histoire et la manière dont l’histoire est raconté. Le graphisme apporte un réel plus à l’histoire et rend le tout encore plus féerique. Il n’y a rien à redire sur ce sujet, en plus cela vieillit plutôt bien donc c’est gagnant pour tout le monde.

 

L’appareil photo

Alor cet appareil il sert à quoi ? Il sert à avoir les ingrédients pour vos recettes. Alors oui, si on connait pas le jeu on pourrait croire que je mélange des mots qui ne devraient pas se trouver dans la même phrase. Je vous jure pourtant que cela a du sens.

Donc, vous pouvez trouver des recettes pour créer des objets. Pour cela vous devez photographier certaines choses. Par exemple vous pourriez avoir besoin d’une ceinture et d’un tonneau pour pouvoir faire un réservoir ou autre. Ces inventions sont principalement dédiées à améliorer votre robot pour le rendre totalement bad-ass et super tueur.

Je me rappelle avoir eu un robot avec des katanas et des hélices pour se déplacer. Oui rien que ça. Et franchement c’était super chouette. Vous pouvez aussi l’avoir avec des mitrailleuses et des jambes mécaniques d’araignées. Il y a de quoi s’amuser pour avoir un design que l’on aime.

Il y a aussi des moments spécifiques à photographier afin de pouvoir avoir d’autres bonus. Par exemple prendre dans un certain angle un boss, cela vous apportant des pierres précieuses donnant des stats superbes à vos armes.

Accueil critique

En parlant de critique presse spécialisée, le jeu a un superbe accueil. Tous sont d’accord pour le décrire comme un jeu génial qui mérite d’être joué par tous. Je suis naturellement de cet avis. Cependant je pense qu’il n’a pas trop été vu par le plus grand nombre. Je ne sais pas à quoi cela pourrait être du, mais il n’a pas eu le succès planétaire que je lui aurai souhaité.

L’autre vérité est que la très grande majorité ayant joué au jeu a un avis plus que positif pour ce jeu, prouvant ainsi que le jeu en valait le coup et que tous devraient en profiter.

Petite info utile, le jeu est dispo sur le PS Store pour la PS4. Je l’ai acheté, évidemment, je vais d’ailleurs y jouer bientôt. Dès que j’aurai fini la trilogie Darksiders, petit teasing de quelque chose qui pourrait arriver bientôt.

Fin

Comme on peut le comprendre, il y a beaucoup de choses à faire. De nombreuses photos à prendre, de nombreuses évolutions d’armes et de robots, recréer le monde, battre des monstres. Tant de choses, en plus on peut revenir autant qu’on veut dans les niveaux déjà faits pour être sûr de ne rien oublier en chemin.

Ce jeu, rien que d’en parler, il donne envie qu’on y rejoue. Pour ceux qui n’y ont pas joué et qui ont une PS4, le jeu est disponible. Donc n’hésitez pas !

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vendredi, 09 avril 2021 23:22

Mes franchises adorées - Final Fantasy

Mes franchises adorées

FINAL FANTASY

Bonjour, cet article sera un de ceux qui me feront le plus plaisir à écrire. Tout simplement à cause des souvenirs de cette franchise. Cette franchise est de loin celle que j’aime le plus. Si je devais faire un top 3 ce serait simple à faire. Il y a Final Fantasy en premier, Mario en deuxième et Zelda est dans la balance avec Pokémon en troisième. Pour certains qui me connaissent dirait que j’oublie Fifa. Alors non je n’oublie pas Fifa qui est une obligation également à avoir pour moi. J’aime aussi cette franchise, mais d’un point de vue affectif elle reste derrière. Bien que ce soit un jeu que l’on peut jouer à tout moment, les trois franchises de mon podium requièrent un état d’esprit particulier et surtout du temps. Car oui, quand je me mets à jouer à un de ces jeux, je dois être sûr que pour un minimum de deux ou trois heures je ne serai pas interrompu. J’ai besoin de pouvoir m’immerger et pouvoir faire un maximum de choses pour prendre un plaisir qui défie tout.

Alors voyons par ordre chronologique les jeux de cette franchise que j’ai joué (ou qui m’ont le plus marqué).

FF VIII et VII sont les premiers (oui dans cette ordre) auxquels j’ai joué et je remercie encore mon frère qui fit la découverte de ces jeux quand nous étions jeunes. Je devais avoir neuf ou dix ans. Je me rappelle qu’avant cela je ne jouais pas tant que cela aux jeux vidéo. Puis mon frère avait ces jeux et nous nous chronométrions pour savoir qui avait le droit de jouer ensuite.

Donc je regardais souvent mon frère jouer et je tentais de faire aussi bien. Les histoires de ces jeux, la manière qu’elles étaient comptées me percutais. Je trouvais que la narration était superbe et j’étais happé par ces jeux.. Après avoir joué à FF IX et X, que j’aimais beaucoup moins à l’époque certainement dû à mon jeune âge. Sorti en 2002, son style de narration était pour moi moins évident à accepter et à comprendre je pense. La même année sont sorties les compilations comprenant le FF I et FF II, FF IV et FF V, mais aussi FF VI en jeu seul. Tout cela sur Playstation première du nom.

J’ai appris l’anglais avec ces compilations et j’y ai joué en essayant de comprendre un maximum. Une fois que j’ai commencé les cours d’anglais, l’un m’aider à progresser dans l’autre.

En 2007 j’ai eu un coup supplémentaire avec FF XII, mon attention tournait un peu plus sur les jeux. Et hop, on a un amoureux hardcore des FF. J’ai donc aussi repris les FF I à VI. J’ai torché le IV, V et VI. Le IV est excellent et le VI est une de leur œuvre d’art pour moi. Le V est réellement cool dû à l’import des « Jobs », en plus on peut en changer autant qu’on veut. Ce cocktail bien secoué a fait de moi un fan inconditionnel de cette franchise. J’ai repris aussi FF II, qui avait un gameplay assez cool que je ne comprenais pas trop bien dû à mon niveau d’anglais encore trop faible en 2002. Il est à savoir que les jeux sortis sur Playstation 1 étaient uniquement disponible en anglais et qu’il a fallu attendre les versions sur Game Boy Advance (que j’ai aussi oui oui) pour les avoir en français.

FF II a été une petite claque pour moi aussi, car le fait que vous ne receviez pas de point d’EXP et que vous deviez enregistrer des mots clés à utiliser avec les bonnes personnes au bon moment était intriguant. On vous demandait de savoir gérer par vous-même vos personnages et le déroulement de l’histoire. C’était assez impressionnant pour moi et je trouvais cela exaltant. Je me rappelle que j’avais une partie sur Game Boy Advance qui était du pur génie, je me sentais imbattable et il faut dire que l’histoire était bien racontée.

Pour Final Fantasy XIII, ce fût la première fois ou j’avais de réelles attentes et que je suivais les informations concernant son développement. Je ressentais ce que je peux bien plus souvent ressentir aujourd’hui en ce qui concerne les jeux vidéo : Une envie d’avoir un nouveau jeu. Tout simplement cette envie d’avoir une nouvelle aventure à jouer. J’avais peur également vu certaines critiques qui commençait à tomber sur le jeu et surtout qu’il mettait beaucoup de temps à enfin sortir sur le marché. Une fois le jeu en main, j’ai passé mon temps uniquement sur ce jeu. C’était un de ces jeux dont vous ne pouvez pas détourner le regard. J’ai fini l’histoire principale en 65 ou 70 heures à peu près, en l’espace de deux semaines. Oui une moyenne de 5 heures par jour environ. Ce jeu m’a fait encore plus aimer la franchise. Par contre je comprenais aussi la principale critique du jeu qui était que c’était un peu un jeu « couloir », avec moins de liberté que ce que l’on peut avoir l’habitude d’avoir. Ce n’était pas faux et cela fut plus ou moins évident à certains moments. Cela ne m’a pas empêché d’avoir adoré ce jeu.

Et puis devait arriver l’attente pour Final Fantasy XV. Entre le XII et le XIII il y avait trois ans d’attente. De 2007 à 2010. Pour FF XV on a dû attendre 2016, six années donc.

Arrivé à ce point je tiens quand même à faire un point sur les jeux FF que j’ai. Nous sommes donc en 2016/17 et j’ai : FF 1 à 6 trois fois, sauf FF III dont j’ai uniquement le Remake sur DS, j’ai FF 7 à 9 deux fois (je n’avais pas encore la Switch donc aujourd’hui aussi trois fois pour ces jeux), j’ai FF X, X-2, FF XII deux fois car j’ai acheté la version PS4 également. J’ai FF XIII et forcément aussi FF XV qui arrive en dernier à cette époque.

Je n’ai pas voulu me faire spoiler quoi que ce soit pour le jeu car je me rappelle le nombre de sentiments que j’ai pu ressentir pour le précédent opus. Alors même quasiment un an après sa sortie je ne sais rien du jeu à part que vous avez une superbe voiture customisable et des personnages assez spéciaux avec vous et que vous serez en mode Bromance. Une fois que j’avais le jeu, je n’ai pu en détourner les yeux. J’ai joué un nombre conséquent d’heures et j’ai adoré chacune d’elles. Ce jeu est pour moi un pur chef-d’œuvre. Tout était bon dans ce jeu. Tout ce que vous pouviez avoir à faire, quêtes principales, quêtes annexe, quêtes pour améliorer la voiture, chasse de monstres, cuisine pour avoir de meilleurs statistiques, la façon de vous soigner en frappant les autres avec votre magie, comment utiliser la magie, comment diriger chaque personnage. Tout, tout est superbement fait et rien ne serait à changer si cela doit uniquement me concerner. Chaque point de ce jeu m’a plu. Je n’y trouve aucun défaut.

Ce qui m’a le plus plu, la narration et le fond de l’histoire tout simplement. Je dois dire que de la manière dont tout est raconté, je mets ce jeu en numéro 1. C’est touchant, prenant, beau et même poétique. Cela vient à contre-pied de la manière de se battre qui est plus nerveuse, puissante et dynamique.

Depuis je n’ai pas eu de quoi me rassasier, mais une fois la Nintendo Switch en main j’ai donc acheté FF VII à FF IX. J’ai fini le IX d’abord car il est très beau je trouve. Une belle histoire et le style graphique me plaît beaucoup.

Mon rêve la en ce moment serait d’avoir droit à un import des « classiques » FF I à VI sur la Switch. Ce serait vraiment bien de pouvoir en profiter, surtout quand on voit que l’on peut profiter de classiques comme Dragon Quest I à III, FF Legends ou les jeux « Mana » sont accessibles, alors pourquoi pas ceux-là ?

J’ai eu la bonne surprise comme pour la plupart des gens de voir la présentation du petit dernier, Final Fantasy XVI. Un retour au médiéval-fantastique, un retour des cristaux et une nouvelle façon de voir Shiva, Ifrit et les autres qu’on a appelé Espers, Eons, G-Force ou encore Eidolons. Tout semble très prometteur. Quand on voit la vidéo on se rend compte aussi qu’il y aura plus de sang visible que ce dont on peut avoir l’habitude, le directeur qui est celui qui s’est occupé de FF XI Et XIV est digne de confiance. Tout est donc mis en œuvre pour que le dernier de la franchise soit à la hauteur de ses ainés.

Bref, vous l’aurez compris je ne trouve aucun défaut à cette franchise et à leur développeur Square Enix anciennement Square Soft. L’avenir semble radieux vu qu’un futur FF sortira et c’est déjà pas mal. Final Fantasy m’aura beaucoup apporté durant ces 15 voir 20 dernières années et j’ai aimé manipuler chaque personnage que ces jeux ont pu me donner la chance de contrôler. Des histoires riches, tristes et heureuses. Des combats épiques et frustrants. Aujourd’hui des souvenirs géniaux et demain de nouvelles quêtes à découvrir. J’ai hâte de vous écrire à nouveau concernant cette franchise.

Donc mon top 3 des FF avec les logos uniquement pour le fun ( de 1 à 3, de gauche à droite) :

 

 

logosff groupés

 

 

Classement total après le top 3 :

  • Final Fantasy VII
  • Final Fantasy XII
  • Final Fantasy XIII
  • Final Fantasy II
  • Final Fantasy V
  • Final Fantasy IX
  • Final Fantasy VIII
  • Final Fantasy I
  • Final Fantasy X
  • Final Fantasy III

Naturellement ce n’est pas un classement simplement de bon à mauvais mais surtout de celui qui m’a le plus plu à celui qui m’a le moins plu. Mais chacun de ces jeux m’a apporté de la joie et j’ai adoré y jouer et vais aimer y rejouer. Je vous dis, au prochain article.

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